Histoire de la guilde

Il existe en Tyrie une nation de fiers combattants. Protégés de leurs ennemis redoutables les charrs par un immense rempart dont la date de création est enfouie aussi profondément que ses fondations, les courageux ascaloniens menaient une vie paisible. La menace des fleuvécailleux n’était plus importante et seuls restaient quelques conflits entre les habitants de la grande nation. Jusqu’à ce jour…

Les charrs qui multipliaient leurs assauts contre le grand rempart inquiétaient le roi mais grâce à la bravoure du peuple d’Ascalon, la menace était maîtrisée. Un jour que de courageux soldats tentèrent une sortie afin de détruire les camps charrs, ils découvrirent quelque chose d’effroyable. Si les charrs avaient redoublé d’efforts pour attaquer le grand rempart, ce n’était que pour éloigner les ascaloniens de leurs camps, et plus précisément de leur autel. Les braves guerriers découvrirent en effet un autel, autour duquel de nombreux charrs étaient réunis. Dissimulée sur une colline surplombant l’autel, la petite escouade frémit de tout ses membres. Il leur fallait absolument rentrer à Ascalon afin de prévenir le roi !
Ils se mirent donc en route, évitant soigneusement les patrouilles charrs. Mais un cœur de chêne normalement pacifique les attaqua. Les épées des guerriers ricochaient sur son écorce et les marteaux ne l’entamaient pas, alors que les branches du centenaires menaçaient les soldats. Une patrouille grawl passant par là disparut aussitôt, pour réapparaître cinq minutes plus tard avec de nombreux charrs. Les guerriers pris au piège entre l’arbre qui refusait toujours de céder et les charrs qui à présent sortaient leurs épées encore tachées de sang. C’est alors que l’arbre s’enflamma ! Un élémentaliste accompagné de moines vint au secours des pauvres guerriers qui combattaient désormais avec les charrs. Les moines aidèrent les blessés sous le couvert des flèches d’archers descendus eux aussi du rempart à la suite du jeune élémentaliste.
Mais les ascaloniens ne furent pas les seuls a recevoir du renfort. D’autres charrs dévalaient désormais la colline, accompagnés d’archers grawl… la bataille tournait en défaveur des intrépides soldats. Nombre des guerriers étaient blessés, et les moines ne pouvaient les aider qu’à rentrer au rempart sains et saufs. Les archers ne pouvaient plus contenir l’avancée charrs, il fallait partir de là et vite. Les grawls étaient désormais à portée de tir; ils lâchèrent une volée de flèches qui retomba en piqué sur le groupe déjà bien affaibli. Les moines protégèrent les blessés, les guerriers soulevèrent leurs lourds boucliers, mais les braves combattants ne purent toutes les éviter… Une seconde volée puis une troisième, firent tomber les derniers guerriers, mais déjà une quatrième et une cinquième étaient tirées. Les moines se mirent au-dessus des blessés afin de les protéger de leur ultime force, craignant le choc d’une flèche se plantant dans leur dos. Mais ils n’eurent pas à subir ces dernières volés… l’élémentaliste était désormais en l’air, ses yeux brillants du pouvoir des arcanes qu’il invoquait. Une tempête de feu se déchaîna entre les deux armées, réduisant a néant les volés de flèches. Cependant, les charrs continuaient de charger, et ce ne serait pas cette tempête qui les arrêterait… Mais les pieds de l’élémentaliste avaient déjà quité me sol, et une pluie de météores s’abattue sur les lignes charrs. Les blessés furent évacués, les archers se retirèrent, l’élémentaliste fermant la marche en lançant des boules de feu pour ralentir les charrs.
La petite escouade de guerriers rentra saine et sauve à l’abris du grand rempart, et fut directement soignée par des moines restés en garnison. L’un d’eux cependant, miraculé de l’expédition accomplis son devoir et alla trouver le roi. Après lui avoir raconter les évènements, le soldat se retira afin d’être à son tour soigné. Les guerriers ayant participés à l’escouade de reconnaissance attendaient dans la cour derrière la porte du grand rempart, déjà prêts à repartir avec les renforts pour raser le camp charr et son autel. Mais aucun autre soldat ne vint. Étonnés, ils allèrent demander au roi quand les renforts seraient prêts à partir. Ils le virent en train de crier sur son fils, le prince Rurik, qui voulait rejoindre l’armée pour détruire le camp charr. Le roi ne cessait de lui rétorquer qu’il n’y aurait pas d’armée, que cet autel charr n’était que pure invention de quelques guerriers, et qu’il ne valait pas la peine d’envoyer des hommes se faire tuer pour çà.
C’est alors qu’un immense choc se fit ressentir, faisant trembler les vitraux ainsi que les murs; un immense météore venait de s’écraser sur le rempart, projetant les débris dans la ville: les charrs attaquaient. De nombreux météores suivirent, réduisant toute vie qui se trouvait dans leur zone d’impact. Ascalon La Glorieuse fut réduite à néant par les charrs, longtemps considérés guère plus intelligents que des aloès.
Ce n’est que 8mois plus tard que dans les ruines d’Ascalon se réorganisait le peuple. Nombreux étaient les paysans qui, s’étant réfugié en ville, s’enrôlaient dans l’armée. Mais ce n’étaient que de simples paysans, sachant mieux manier la fourche que l’épée. Il fallait à Ascalon de vrais combattants, qui pourraient défendre la ville et reconquérir les terres ravagées…
Un jeune élémentaliste, qui autrefois avais secouru l’escouade, parcourait la lande déserte, pourchassant les grawls croisant son chemin. Il se plaignait de l‘insuffisance des défenseurs d’Ascalon, devant toujours lutté à un contre quatre. C’est alors qu’il eut l’idée de réunir des héros comme lui afin de non plus défendre seul, mais d’attaquer en groupe. Un jour, alors qu’il aidait les quelques soldats en faction au sanatorium, le maître des arcanes entendit des cris et des hurlements de grawls, scène devenue trop familière. Il laissa les soldats finir les quelques grawls s’attaquant au sanatorium et se précipita dans la direction d’où venaient ces cris. Cinq grawls s’attaquaient à une famille de paysans revenus dans le petit village d’Ashford afin de récupérer leurs biens. Déjà il s’élevait dans les airs et un météore s’écrasa sur le grawl le plus proche. Mais même à quatre contre un, le combat restait inégal… pour les grawls. Ils les enflamma avant qu’ils n’arrivent jusqu’à lui. Mais survint alors un événement insolite. Un commando charr s’était aventuré derrière le rempart, et le combat tournerait en défaveur de l’élémentaliste déjà fatigué. Si tôt qu’ils le virent, les charrs le chargèrent. Il eut beau en tué un avec une immense boule de feu, les autres continuaient de se rapprocher, et il n’avait plus de mana. S’apprêtant à combattre au corps à corps avec ces charrs, l’élémentaliste ne remarqua pas une silhouette se glisser sur sa gauche. Un autre météore s’écrasa sur les charrs! Quel ne fut pas sa surprise de trouver un allié dans ces terres ingrates et en un moment pareil. Les charrs avisèrent le nouveau venu, perché en hauteur; ils préférèrent finir celui au sol. Mais déjà une boule de feu surgissait de ces hauteurs et frappa de plein fouet un autre charr; ils décidèrent alors de changer de proie. Se mettant a escalader les rochers, ils ne remarquèrent pas que leur première cible s’élevait dans les airs, les yeux devenus rouge vif. Ils s’apprêtaient à planter leurs crocs dans cet importun qui avait osé les déranger. Les sept charrs gravirent la colline, dérapant de temps en temps; ils étaient presque à coté de lui, et le courageux élémentaliste qui avait osé les dérangé avait épuisé sa mana sur le charr le plus proche. S’apprêtant au pire, il ferma les yeux… il sentit une immense bourrasque juste devant lui, puis des chocs à répétition sur le sol. Il rouvrit ses yeux pour constater que le commando n’était plus que peaux aplaties sur le sol. Il descendit à a rencontre de son confrère:
« Merci, tu m a sorti d’une bien pénible situation. »
« C’est moi qui te remercies, je n’aurais pu m’en tirer contre ceux-la. »
« Nous sommes donc quittes. »
« Le mal règne sur ces contrées… nous ne seront pas trop de deux pour les protéger. Il m’est venu à l’idée de recréer une guilde qui ne servirait non plus ses propres intérêts, mais ceux d’Ascalon, afin de protéger la population de la menace charr. Rejoins moi, et ensemble, nous réunirons une véritable armée afin de purger la Tyrie du mal qui y règne. »
« Je suis d’accord! Trop de gens se sont faits tués par ces immondes charrs, ce sont de véritables démons. »
« Nous seront donc The Demon Guard ! Au fait, je m’appèle Murtagh, ravi de te rencontrer. »
« Je m’appèle Gin, plaisir partagé.  Mais comment allons nous réunir suffisamment de troupes?  Cela paraît impossible. »
« Il suffit de les chercher là où font rage les combats et d’y participer. Nous nous assureront ainsi que ce ne sont pas des paysans mais de véritables combattants. »

Et c est ainsi que fut créée la guilde, dans les ruines d'Ashford au milieu des cadavres grawls et charrs.

bien écrit cette histoire tu devré faire un livre. Une histoire complette sur la guilde et qui sé meme une adaptation ciné^^

erf, j avais demandé no comment dans cette partie :s si tu veux y a 1 sujet dans le bistro pour mettre les commentaires etc.. ^^


sinon ca gache le coté RP



merci kan meme, ca me motive pour écrire la suite



ps: S ke tu peux suppr ton commentaire, et le mettre dans le sujet dans le bistro ? merci bcp
ps': Sora, tu peux mettres les commentaires d ici dans le sujet du bistro ?
ps²: bientot la suite

Ascalon, 10mois après l'attaque charr.

Les charrs, race primitive plus proche de la bête que de l'homme, s'étaient en fait révélés plus intelligents que personne ne le pensait. Ils avaient réussi à attaquer les humains vivants de l'autre côté du Grand Rempart, et désormais ils progressaient sur les terres d'Ascalon,
se déversant dans le comté du lac en vagues meurtrières qui à chaque ois repoussaient les guerriers plus loin, jusqu'au jour où ils arrivèrent aux portes mêmes de la cité. Tous se croyaient perdus car la population qui s'était réfugier dans la cité était composée majoritairement de femmes et d enfants... il restait une dizaine d'archers, une vingtaine de guerriers et eux ou trois moines pour défendre la cité. Aucune échapatoire ne s'offraient aux ascaloniens, pris au piège dans les ruines de leur propre ville. Ils étaient prêts à se battre jusqu'au bout bien sûr, mais ils savaient bien qu'ils ne pourraient contenir les charrs éternellement. Le premier ssaut charr fut repoussé au prix de la vie de la moitié des ultimes défenseurs, le prochain assaut réduirai la ville en cendres... Les cornes onèrent, signe que les charrs attaquaient, les soldats dirent adieu à leur femmes, et allèrent se mettre en position. C'était donc ainsi que finirait la lorieuse nation. Ascalon la fière, Ascalon la victorieuse, Ascalon la brave... tout cela n'était plus que le passé. Les charrs étaient là, prêts pour leur ssaut final. Ils encerclaient complétement la ville, aucune échappatoire possible. Les soldats tremblaient derrière leur bouclier, les archers n'arrivaient pas à stabiliser leurs arcs; ils sentaient la mort se rapprocher.Un premier charr s'avanca, suivi de cinq autres, puis de dix, et e reste de l'armée se mit à charger. Ils n'étaient qu'à une vingtaine de mètres des portes de la ville, les archers décochèrent leurs flèches, et a première ligne tomba, mais les charrs continuaient de charger, rendu fous par l'excitation que provoquait chez eux la proximité d'un bon repas. Déjà ils étaient aux portes de la ville, et les défenseurs levèrent leurs oucliers, quand soudain, un remus ménage se fit sentir à l'arrière des lignes charrs. Que se passait-il donc là bas ? Les charrs stopèrent leur lan, pour voir ce qui agitait l'arrière des troupes, et c'est alors que, le ciel se déchira et des pluies de météores s'abatirent sur les monstres assoifés de sang. Il y avait deux humains qui osaient défier la grande armée charr, perchés sur 1 colline. Cinq charrs furent envoyés, sans succés; ils brulèrent tous dans leur armure avant d'arriver au pied de la colline même. Une dizaine, puis une quinzaine furent à leur tour envoyées, mais sans succés. L'alternance
des météores et des boules de feu les stoppaient. L'armée charr entière se mit en route contre ces deux crétins qui osaient les défier et les chargèrent
armes sorties. L'un des deux élémentalistes fit alors un signe discret dans son dos, et une pluie de flèches s'éleva de derrière la colline. Les charrs,
bien que surpris ne s'arrétèrent pas pour autant. Ils étaient presque arrivés sur les deux hommes quand, ils percurent le bruit de lourds pas cogner sur
sol de l'autre coté de la colline. Ils virent alors le haut de la colline se remplir de cottes de mailles éblouissantes qui chargeaient sur eux. Sur
l'autre flanc de la colline se tenaient en fait l'ultime résistance ascalonienne, tous portant une cape où une licorne d'or surgissait des ténèbres.
Le combat tourna vite en leur faveur, et les charrs se replièrent sur leurs positions derrière le rempart. Ascalon était sauvée. Des moines, portant eux
aussi la cape, se précipitèrent dans la cité afin de soigner les blessés, des rodeurs furent envoyés à la poursuite des charrs afin de déterminer la
position exacte de leur camp, les guerriers achevaient les charrs laissés pour morts sur le champ de bataille, et les deux élémentalistes se dirigèrent
à leur tour vers la cité, afin de parler aux gardes rescapés.
"On peut dire que nous somems arrivés à temps à ce que je vois, vous n'auriez pu tenir bien longtemps."
"En effet, nous nous apprétions à céder nos âmes à Grenth. Mais qui êtes vous ? Comment est-ce possible ?"
"Nous sommes The Demon Guard, nous avons apris grâce à l'un de nos rodeurs que les charrs avaient disparus de leur camps, c'est pour çà que nous nous
sommes mis en marche. Nous savions que les charrs attaqueraient, mais nous ne pensions pas que celà se passerait si vite. Il semble qu'ils tiennent à
en finir et vite."
"Par Balthazar, soyez bénis. Nous ne sommes plus qu'une quinzaine pour défendre cette cité, toute la population s'y est réfugiée. Sans votre aide, Ascalon
aurait été le lieu d'un massacre."
"Vous n'êtes qu'une quinzaine ? Gin, dis à Malestrom de réunir la guilde dans la ville, que les rôdeurs rejoignent les archers, et les guerriers les gardes."
"Ok, je pars après avec une escouade pour retrouvé les éclaireurs."
"Bien. Quand à toi, Hollis non? vérifiez que mes hommes soient bien logés."
"A vos ordres. Mais... comment savez vous mon nom?"
"Te souviens-tu il y a de cela une dizaine de mois, la patrouille que tu menais ? Je vint à ton secours cette fois pour vous ramener au rempart toi et tes
hommes."
"Oui, je me disais bien que je vous avez deja vu. Merci encore, je ferais mon possible pour que vos hommes soient traités comme ils le méritent."
"Une derniere chose, où est ke roi?"
"Quand Sir Adelbern a appris qu'Ascalon allait être attaquer, le roi et sa garde sont allés au fort Ranik."
"D'accord, va maintenant."
La cité était sauvée, une fois de plus la chance permis d'arriver à temps pour éviter le pire.

12mois apres l'attaque charr

Tout semble calme dans la bréche du rempart depuis la contre-attaque des ascaloniens. Le calme après la tempête... ou avant. Des ruines de la Place Piken s'élèvent quelques murmurent, des ordres à peine audibles. Un arc dépasse d'une colonne de pierre, une cape fend l'air portée par une faible brise. Mais l'arc et la cape disparaissent aussitôt, et les murmures cessent, car un rodeur reviens de sa mission, indiquant juste qu'ils arrivent. C'est alors que surgissent à l'autre bout de la route une troupe de charrs qui escorte quatre gardiens de la flamme,eux-meme entourant un brasier ardent.
"Ce sont eux ? murmure un jeune soldat"
"Oui, ils apportent ce brasier pour établir un camp plus proche d'Ascalon encore. Préparez vous. Gin, à toi de jouer"
Un élémentaliste sortit alors des ruines, et quelle ne fut pas la surprise des charrs. Bien évidemment, ils le chargèrent, à part les gardiens de la flamme qui restaient en arrière pour protéger le brasier. Les charrs n'étaient plus qu'à quelques mètres de lui, quand surgirent du sol des piquants, ils furent ainsi stopés dans leur élan, et des rodeurs sortirent à leur tour de leurs caches, et leures flèches volèrent. Mais les charrs, bien que boîtant, ne s arrétèrent pas pour autant. C'est à ce moment que Murtagh, accompagné de guerriers, attaqua les gardiens de la flamme. Ils n'urent pas le temps de réagirent et furent massacrés sans aucune échappatoire. Les survivants de l'escorte devinrent alors fous de rage, et chargèrent ces inconscients. Les guerriers se mirent en ligne en un endroit bien précis, les charrs arrivant sur eux. Mais, c'est à ce moment que la deuxieme série de pièges se déclencha et les fit s'enflammer, les guerriers les chargèrent alors. Les charrs pris en étaux tentèrent de fuir en
gravissant les falaises des deux cotés de la route, mais les rodeurs s'y étaient déjà posté,et les arrosèrent de flèches. Un météore tomba au-dessus d'un groupe d'irréductible qui allaient forcer le passage, et provqua un éboulement. Les charrs furent tous brulés, écrasés et ensevelis, percés de flèches ou avec de grosses balafres des guerriers.
"Bon, bien joué à tous, dis alors Murtagh, mais on ne s'attarde pas ici. Il faut aller aider Rurik qui vient avec
un convois afin de créer un camp de base ici."
"Mais il est complétement fou ?!" s'exclama un rodeur.
"Oui, c'est vrai il est fou. Mais nous le suivront dans sa folie! Ces terres sont les notres, nous devons les
reprendre!"
"Bien."
"Je veux 5 rodeurs et 7 guerriers qui resteront ici avec Gin pour tenir la Place Piken au cas où d'autre charrs
passeraient. Sinon, les guerriers et les 2rodeurs restant viendront avec moi chercher Rurik. Allez !"

Murtagh ne put retenir un sourire, les ascaloniens reprenaient peu à peu le dessus...

Ascalon 2ans apres la fournaise.

Après la charge de l'Avant-Garde, les charrs ont changé de stratégie. Désormais ils tiennent le siège de chaque foyer de résistance et crééent plus de brasier ardents. Les Ascaloniens et les charrs restent donc en statut quo. Personne n'ose attaquer, sachant la force de son adversaire.

"Murtagh ! Cà y est on tient le tribunal de Grendich!"
Le jeune élémentaliste fut réveillé de sa courte nuit de repos par une jeune recrue. C'était une rodeuse très habile pour se faufiler entre les patrouilles charrs, et dont les nombreux combats n'avaient pas altérer la grande beautée. Il se leva, ne sachant pas qu'il entamerait une journée capitale pour la survie du peuple d'Ascalon. Il sortit de sa tente, remercia la jeune rodeuse et lui conseilla de prendre un peu de repos, lui donnant même sa tente. L'agitation régnait déjà dans le campement, et tout le monde s'affairait afin de re-partir vers Ascalon, pour annoncer les victoires derrière le rempart, et demander des renforts ainsi que des provisions. La troupe qui escorteterait le Prince Rurik était déjà prête à partir, et 5minutes plus tard franchissait les portes de la place Piken. Ils réussirent à se faufiler entre les charrs qui assiégeaient leur position, et se dirigèrent vers ce qui fut autrefois leur fierté: le Grand Rempart. A part quelques escarmouches tournant à leur avantage, les soldats arrivèrent au Grand rempart sans perte à déplorer, si ce n'était quelques flèches que les cadavres charrs garderaient avec eux. Ils saluèrent le garde de la porte, et se dirigèrent vers la cité d'Ascalon. Arrivés aux portes de la ville, la troupe rencontra le roi, revenu du fort Ranik une fois le secteur sécurisé. Celui-ci s'apprétait à aller tuer les krytiens venus en paix de l'Arche du Lion. Rurik s'interposa, des épées furent tirées de leur foureaux, le roi n'hésiterait pas à tuer son fils. Mais la troupe aussi sortit ses épées, défiant la garde royale; un ange passa, et finalement le roi fit demi-tour. Les portes de la ville s'ouvrirent pour laisser le roi rentrer, et au même moment Sir Tydus sortit, courant vers le Prince. Le capitaine Callahan demandais un groupe de bons combattants afin de créer un commando qui irait inspecter les camps charrs. Le prince n'eut rien à dire, que déjà la troupe était en route. Arrivés sur place, le Capitaine Callahan leur demanda de partir en repérage sur la route allant au nord. Ils assistèrent à une bataille entre gargouilles et charrs, et poursuivire leur chemin éliminant les pauvres créatures qui croisaient leur chemin, même certains moa afin de prendre des provisions, on ne sait jamais. Ils finirent par arriver sur une colline, doù ils vurent une armée charr, composée des troupes d'élites reconnaissables à leur collier d os humains. La troupe se coucha à terre, et observa. Mais ils furent repérés par le chef de cette armée, les charrs défoncèrent une porte et les chargèrent. Les quelques rodeurs de la troupe posèrent des pièges, mais cela ne suffirait pas, ils le savaient; il leur fallait fuir. Les charrs gravissaient la colline mais la troupe était déjà partie, excepté une jeune rodeuse qui continuait de poser des pièges, afin d assurer plus de temps à ses amis. Un charr lui bondissait dessus; mourrir pour protéger ses amis, quelle belle mort songea-t-elle... mais l'épée ne s abatit pas. Un météore venait de s'écraser, et la rodeuse comprennant qu'on ne la laisserait pas sur place se remis sur ses jambes et piqua le sprint de sa vie. Elle remercia au passage l'élémentaliste, qui lui aussi courrait pour sauver sa peau. Ils arrivèrent au rempart épuisé, et ûrent du mal a se faire comprendre du capitaine Callahan, que déjà les charrs arrivaient.
"On ne pourra pas... on ne pourra pas tenir", lâcha murtagh encore essouflé. "Il nous faut abandonner le rempart. Et dorénavant, constituer des équipes plus petites, nous avons été repérés à cause de notre nombre."
"Mais, le roi nous a dis de tenir le rempart coûte que coûte, repliqua le capitaine callahan."
"Le roi n'est pas là en ce moment, alors obéissez! Je ne vous laisserez pas sacrifier ces hommes sur la bonne parole du roi. Repliez vous sur le Fort Ranik et sur Ascalon!"

Et c'est ainsi que l'avantage qu'avaient pris les ascaloniens repassa au charrs, et à leures nouvelles troupes d'élites. Le moral était au plus bas, et on appréhendait la suite.